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Gustave Courbet et les images populaires. L'aumône d'un mendiant. 13/15

Dernière mise à jour : 10 nov. 2023

L’aumône d’un mendiant, 1868.


Un dernier tableau, L’aumône d’un mendiant (Fig. 1) bien plus tardif puisque peint en 1868, nous intéresse par le rapprochement qu’a fait Linda Nochlin avec un détail d’une image de Wentzel à Wissembourg[1], Le Juif-errant[2].


fig. 1 : 1868, Burrel collection, Glasgow.

Ce tableau de 211 x 175,3 cm[3] a été présenté au Salon de 1868. Dans une lettre à Max Buchon en avril 1868[4], Gustave Courbet le nomme L’aumône du mendiant. Dans une autre lettre à Jules Castagnary en mai de la même année, il le nomme Le pauvre[5]. C’est donc un pauvre mendiant qui fait l’aumône à plus pauvre que lui, en l’occurrence une femme et ses enfants dans un complet dénuement : tout ce qu’elle possède est dans cette carriole bâchée qu’elle doit tirer elle-même. Cette figure se rapproche de celle de la Bohémienne et ses enfants ( Collection privée) que Gustave Courbet peindra en 1853-1854 pour compléter sa série «Sur la grande route » [6] .

L’homme déguenillé, au pied blessé

entouré de bandages sales, marche à l’aide d’une béquille. La besace en bandoulière montre son itinérance mais la béquille qu’elle est probablement locale.


Certaines reproductions dans des journaux ou livres plus tardifs (dont LÉGER Charles, Courbet, en 1934, ou une reproduction signée Gillot sc. dans une revue non identifiée, s. d, coll. BnF) nomment ce tableau L'aumône d'un mendiant à Ornans mais cette appellation postérieure qui situe la scène à Ornans, bien que probable, n'est pas confortée par le titre que lui donne Courbet dans ses lettres.











Qui est ce personnage ? En 1876, Gustave Courbet envoie à Lausanne pour une exposition « trois choses sérieuses qui n’ont jamais été exposées […] dont un portrait d’un vieil invalide de l’ancien Empire, esquisse de mon tableau Le Pauvre »[7].


fig. 2 : Le factionnaire [...], coll. Musée Carnavalet

Ce mendiant serait donc un de ces milliers de vétérans que la Restauration a jeté sur les routes. Il porte d’ailleurs le chapeau haut de forme qui est le signe de ralliement des officiers demi-solde comme le montre, en 1819, la lithographie de Théodore Géricault, Le factionnaire suisse au Louvre[8] (Fig. 2: coll. Musée Carnavalet, Paris).












fig. 3 : l'aumône de Fortunat à un ancien soldat [...], Les demi-solde, ill. M.Toussaint, 1910

En 1910, Georges d’Esparbès[9] (Valence d’Agen, 1863- Saint-Germain-en-Laye, 1944) fait de ces soldats « abandonnés » les héros de son livre historique Les Demi-solde, illustré par Maurice Toussaint[10](Fig. 3). Restés en ville (et complotant souvent) ou retournés dans leur village où ils ont repris leurs places dans les collectivités villageoises[11], ces soldats de l’Empire vont propager et entretenir la légende napoléonienne. Ils participent sous le Second Empire à la mise en place par Napoléon III du mythe national de l’ancien grognard, dévoué à l’Empereur et nostalgique, topos qui aidera à assoir le pouvoir impérial.


En 1834 déjà, la gravure d’Hippolyte Bellangé intitulée Tenez voyez-vous, M. le curé, pour moi, l’vla l’père éternel (Fig. 4: coll. bibliothèque municipale, Valenciennes.) montre un ancien soldat qui désigne avec vénération à ses enfants et au curé du village une gravure de Napoléon.

Le tableau Les vieux souvenirs[12] de Jean-Pierre Haag, présenté au Salon de 1893 et raillé par Félix Fénéon[13], en est surtout la parfaite illustration.


Édité en gravure chez Boussod, Valadon et Cie (Fig. 5 : coll. Musée d'Aquitaine, Bordeaux), on y voit un vétéran à la jambe de bois raconter à trois enfants « déguisés » en soldats et quelque peu distraits, les exploits de l’Empire : derrière lui, un mur entier est recouvert de toutes les images de l’épopée napoléonienne éditées à Épinal qu’il a collectionnées !


fig. 5: Les vieux souvenirs, 1893

Ainsi les blessés de guerre comme le vétéran peint par Gustave Courbet, incapables de gagner leur vie, sont devenus des miséreux vivant de la charité publique s’ils n’ont pas de famille. Miséreux mais généreux comme dans Les demi-solde, où Georges d’Esparbés relate, même si romancée, l’histoire d’un certain Fortunat qui utilise sa demi-solde pour donner un sou à « un mendiant rue de Charonne qui [a] fait avec lui l’an V[14] »[15] récit illustré par Maurice Toussaint. (Fig.3 ).

Cette scène est donc parfaitement crédible. Gustave Courbet, déjà au temps des Casseurs de pierre, a dit : « Je n’ai rien inventé »[16]. Il est fort probable que, là encore, il n’invente rien. Tout l’Est de la France est peuplé de demi-solde nostalgiques qui achèteront les images de la légende. Le père de son ami Max Buchon, Jean-Baptiste, est lui-même un demi-solde[17].

Courbet a dû voir un ancien soldat miséreux, offrant quelques sous à un enfant plus indigent que lui. L’enfant impertinent, rebuté par l’odeur du vieux soldat, se cache le nez de la main. Cette scène n’est ni misérabiliste comme le seront Le petit colporteur endormi[18] de Jules Bastien Lepage (Verdun 1848-1884) en 1882 ou le petit Martyr- un petit marchand de violette, de Fernand Pelez en 1885. Ou même les petits ramoneurs de l’imagerie moralisatrice sauvés de leur misère et de leur errance par de généreux couples[19].


Mais Courbet a-t-il voulu faire appel de nouveau à un épisode concernant le Juif-errant comme le suggère en 2007[20] Linda Nochlin qui a rapproché L’aumône du mendiant à un détail de l’image Le Juif-errant de Jean-Frédéric Wentzel à Wissembourg ? (Fig. 6: coll. musée d'art et d'histoire juif, Paris).


fig. 6: Wentzel, Wissembourg, 1855-1859, coll. MAHJ

Champfleury qui possédait l'image[21], la décrit ainsi dans son Histoire de l’imagerie populaire : « Wentzel, Wissembourg (dépôt chez Humbert, 65 rue Saint-Jacques), Le Juif-errant. Un encadrement qui court autour du drame entoure chacun des couplets de la complainte[…] L’ornement du bas s’interrompt pour donner place à un cartouche dans lequel le Juif-errant est représenté laissant tomber une pièce de monnaie dans le chapeau que lui tend un pauvre, feuille simple, 1860 »[22].

En réalité, cette image est éditée entre 1855 et 1859[23] si l’on se fonde sur la mention du dépôt parisien de Wentzel. Dans sa conclusion de la partie sur le Juif-errant qu’il intitule Sens moderne donné à la légende, Champfleury estime que :

« Le modeste imagier de Wissembourg, après tant de fatras, de commentaires, d’équivoques sur ce personnage fantastique, [en] a donné la véritable version [...] Pour la première fois, la gravure a montré le Juif-Errant humain. Son rôle finit. Il est sauvé. Puni pour son manque de charité, il est relevé par la charité ».

Le Juif-errant est-il donc sauvé par la charité, « converti » à une des vertus théologales chrétiennes dont il a enfin compris le sens ? C’est une étonnante compréhension de l’image et du mythe de la part de Champfleury qui juge que « l’humble imagier alsacien[24] a fait comprendre à des milliers de citoyens la chrétienne et touchante interprétation de la légende du Juif-errant ».


L’image de Wentzel est composée de différents registres : dans la partie centrale présentée dans un cercle, le Juif-errant est à la porte d’une auberge, refusant de rentrer pour boire le pot de bière offert par deux hommes emperruqués et vêtus à la mode du XVIIe siècle. Ce nouveau modèle de rencontre, beaucoup plus triviale, apparaît aussi dès 1850 à Épinal, Metz ou Pont-à-Mousson et illustre la cinquième strophe de la complainte brabançonne jusqu’alors non illustrée:

« Entrez dans cette auberge, Vénérable vieillard,

D’un pot de bière fraîche, Vous prendre votre part,

Nous vous régalerons, Le mieux que nous pourrons ».

Au-dessus du cercle, sous le titre, un évangile ouvert proclame « Frappez, on vous ouvrira » [« car celui qui demande reçoit, qui cherche trouve, et on ouvre à qui a frappé »], citation selon l’évangile selon Matthieu 7, 7. Le livre est accompagné d’une miche de pain et d’un sablier, « Vanité » signifiant le temps qui passe inexorablement.

Dans la partie inférieure de l’image, Wentzel montre la scène de l’aumône qui nous intéresse. Le Juif à la longue barbe blanche à la Gustave Doré[25] dépose sans s’arrêter un denier[26] dans le chapeau d’un mendiant assis au pied d’un grand arbre. Quant aux vingt-quatre strophes de la complainte, elles sont insérées, deux par deux, dans de petits cercles disposés en guirlande.

Dans son texte sur la rédemption du Juif-errant par la charité[27], Champfleury révèle que « cette conclusion a été indiquée par Béranger dans son poème ».

Effectivement, cette scène d’aumône n’existe pas dans la complainte brabançonne. Elle est inventée dans la troisième strophe de la chanson du Juif-errant créée vers 1833 par l’illustre chansonnier Béranger[28] (Pierre-Jean de Béranger, Paris, 1780-1857) à chanter « sur l’air du Chasseur rouge d’Amédée de Beauplan »[29], et dit ainsi :

« Plus d’un pauvre vient implorer, Le denier que je puis répandre,

Qui n’a pas le temps de serrer, La main qu’en passant j’aime à tendre

Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours,

Toujours, toujours, toujours, toujours »

Ainsi, dans la chanson, le Juif-errant qui dispose de cinq sols par jour, toujours renouvelés, « aime » à faire l’aumône d’un denier à un homme pauvre.


fig. 7 : [ le juif-errant], coll. BnF

Dans le tome 2 des Œuvres complètes de Béranger, illustrées de cinquante-deux gravures sur acier d’après MM. Charlet, Daubigny, De Lemud, Raffet etc, parues en 1848[30] , la chanson du Juif-errant est accompagnée d’une gravure non signée[31] (Fig. 7: coll. BnF) représentant au centre le Juif-errant en marche dans le vent, encadré par des colonnes en ruine et chassé par un ange. L’épisode du « manque de charité », comme l’écrit Champfleury qui possède aussi la gravure signalée dans l’inventaire après décès, est illustré en partie inférieure par le Christ portant sa croix et infligeant au Juif-errant sa peine. En partie supérieure, vient se placer le moment où, faisant l’aumône, « il est relevé par la charité ».

Cette disposition en trois registres de la gravure rappelle celle de l’image populaire de Wissembourg. Il est possible dès lors que Wentzel en ait eu connaissance et s’en soit inspiré pour cette image de composition inhabituelle dans l’imagerie qui mêle à la fois l’ancienne complainte et la chanson de Béranger, le Juif-errant à l’auberge et l’aumône faite par le Juif-errant, comme si l’imagier avait mélangé les évangiles canoniques et les apocryphes pour compléter son histoire.


En résumé, est-il possible que Courbet se soit inspiré de cette image pour sa composition ?

On ne sait si Champfleury qui les possédait toutes deux, a montré la gravure de Lemud de 1848 et l’image de Wissembourg de 1859 au peintre. Le tableau date de 1868 et, depuis 1861, les deux amis se sont éloignés[32].

Cependant, le topos du « Juif-errant faisant l’aumône », diffusé par la très populaire chanson de Béranger, existait sûrement dans l’imaginaire du XIXe siècle. Et il est très probable que le peintre le connaissait.

Mais est-il plausible que Courbet qui a utilisé la figure du Juif-errant en 1854 pour La Rencontre et s’est fait moquer, souhaite utiliser de nouveau ce rapprochement ?

Quoiqu'il en soit, le détail de l'image de Wentzel à Wissembourg ne nous semble donc pas être une source directe.


Il nous faut peut-être faire appel à un autre topos concernant les soldats de Napoléon 1er. Après la Bataille d’Esling, mort de Montebello, liée à l’histoire personnelle du directeur de l’imagerie Pellerin, la deuxième image de la série de la légende napoléonienne qu’édite Pellerin en avril 1830, se nomme Valeur et humanité (Fig. 8: coll. MUCEM).


fig. 8 : Valeur et humanité, 1830, coll. MUCEM

Choisir ce thème pour la deuxième image publiée à Épinal montre l’importance de ces qualités pour ces anciens soldats ou du moins, l’importance de montrer ce dont ils souhaitent que l’on se souvienne ! On y voit des soldats au bivouac protéger et nourrir avec le lait d’une chèvre un jeune enfant abandonné sur le champ de bataille. Le texte qui accompagne l’image dit : « L’humanité fut toujours inséparable de la véritable valeur. À la suite des combats livrés sur les bords du Tage[33] et au milieu des horreurs d’un champ de bataille, des soldats français trouvent un jeune enfant endormi dans son berceau. La pitié leur inspire le désir de le sauver. Ils l’emportent, le nourrissent, lui prodiguent des soins les plus touchants et le conservent ainsi à sa malheureuse mère. ».

Cette humanité, cette bonté légendaire, seront encore vantées et illustrées maintes fois dont encore en 1910, dans le récit de Maurice d’Esparbés lorsque le demi-solde donne quelques sous à un ancien soldat plus pauvre que lui… (Fig. 3).

Ainsi, le geste du soldat envers l’enfant et sa famille pourrait faire écho aux qualités vantées des soldats de Napoléon 1er, capables de bonté envers les faibles et les vaincus.

La vue d’un mendiant, ancien soldat d’Empire aidant plus pauvres que lui, possiblement à Ornans, a pu raviver chez Courbet des légendes sur ces soldats, éveiller son intérêt et l’inciter à peindre la scène ?

La toile est-elle aussi la mise en image d’une indignation de Courbet à la vue des indigents comme la femme et ses enfants ou les soldats tombés dans la misère ?

Très probablement.


Martine Sadion


[1] Dans le nord de l’Alsace, à la frontière allemande. [2] NOCHLIN, Linda, Courbet, 2007. [3] Burrel Collection, Glasgow. [4] Lettre à Max Buchon du 9 avril 1868, 68-9. [5] Lettre à Jules Castagnary, du 12 mai 1868, 68-13. [6] Lettre à Francis Wey, [22 décembre] 1853 : « J’ai fait des paysages pas mal et j’ai entrepris deux tableaux qui doivent continuer mes séries Sur la grande route et Les Demoiselles de village ». Gustave Courbet prévoyait de peindre, pour la série Sur la grande route, « suite aux Casseurs de pierre, […] une Bohémienne et ses enfants ». Lettre à Bruyas, janvier 1854, 54-1. [7] Lettre à Louis Ruchonnet, 1er juillet [1876], 76-19. Cette esquisse pourrait être un crayon sur papier destiné à la reproduction, 28,7 x 22,1 cm. Collection du Sterling and Francine Clark Institute à Williamstown. Cité par LE MEN, Ségolène, notice, in Courbet, dessins, op. cit. 2019, p.198-199. [8] Coll. Musée Carnavalet, Paris. [9] Ecrivain, chantre du 1er Empire. Il fut conservateur du Château de Fontainebleau de 1905 à 1930. [10]D’ESPARBÉS, Georges, Les Demi-solde, Paris, Calmann-Lévy, 1910. Consulté sur archive.org [11] MARLY, Matthieu, Etre ou ne pas être un ancien soldat de l’Empire, Annales de Bretagne et des pays de l’Ouest, 118-2, 2011 ; PETITEAU, Natalie, Lendemains d’Empire, Les soldats de Napoléon dans la France du 19e siècle. Paris, La boutique de l’histoire, 2003. [12] Tableau non localisé. Présenté sous le numéro 871 du Catalogue illustré du Salon de 1893. [13] « Trognolant le topo de Jean-Pierre Haag ! un abruti de vieux de la vieille a tellement enquiquiné les croquants de son patelin en leur dégoisant ses crapuleries de troubade, qu’il en est réduit à les jacter maintenant à des momignards à peine sevrés », in Le Père peinard, 14 mai 1893. [14] Batailles de la campagne d’Italie de Napoléon, 1796-1797 [15] D’ESPARBÉS, Georges, Les Demi-solde, op. cit. p. 29. [16] Lettre à Champfleury, février-mars 1850, 50-1. [17] BARBE, Noël, Le laboratoire de l’artiste, Courbet et les sciences sociales, in Gustave Courbet et la Franche-Comté, cat.exp., Besançon, Somogy, 2000, p.69. [18] Coll. MBA Tournai, Belgique. [19] Ces figures de l’enfance, petits mendiants, colporteurs ou savoyards, sont développées dans SADION, Martine L’enfance à sauver, in Sur les routes, cat. exp., Épinal, Musée de l’image, 2010, pp. 86-101. [20] Nochlin, Linda, Courbet, Londres, 2007, p.43. [21] Champfleury l’a probablement achetée chez Humbert le dépositaire parisien de Wentzel, avant 1859. [22] CHAMPFLEURY, Histoire de l’imagerie populaire, op. cit., p. 102. [23] 1855 est la date de la mise en place du dépôt parisien rue Saint-Jacques chez Humbert et avant que la mention ne devienne Dépôt chez Vve Humbert en 1859. Cf. la chronologie de l’entreprise in Des mondes de papier, l’imagerie populaire de Wissembourg, cat. exp. Musées de la Ville de Strasbourg, 2010, p. 87. [24] L’ « humble» Wentzel était un fier commerçant qui aurait sûrement détesté se voir nommer ainsi… [25] La légende du Juif-errant comporte 12 gravures sur bois de Gustave Doré, Paris, Michel Levy, 1856. J. J. Grandville dans les Œuvres complètes de Béranger chez Fournier, 1836, avait aussi dessiné un Juif-errant barbu. [26] 1/12 du sou. [27] Histoire de l’imagerie populaire, op. cit., p. 77. [28] Chansons nouvelles et dernières de P.-J. de Béranger, dédiées à M. Lucien Bonaparte, Paris, Perrotin, 1833, p. 31. La légende du Juif-errant, compositions et dessins de Gustave Doré […] avec la ballade de Béranger mise en musique par Ernest Doré, Paris, Michel Levy Frères, 1856. [29] Air non retrouvé. Amédée de Beauplan (1790- 1853), auteur dramatique et compositeur parisien. [30] Œuvres complètes de Béranger, nouvelle édition revue et corrigée par l’auteur, illustrée de cinquante-deux gravures sur acier […], t. 2, Paris, Perrotin éditeur, 1848. [31] Mais possiblement d’Aimé de Lemud (Thionville, 1816- Nancy, 1887) [32] « Champfleury est retiré des affaires, on n’entend plus parler de lui, je le vois rarement », lettre à Max Buchon, 61-15. [33] Campagne d’Espagne, novembre 1808- janvier 1809. Le personnage assis à droite pourrait être le Maréchal Lefebvre, commandant du 4ème corps.


(Gentil) avertissement: ce texte (à l'origine partie d'un M2/ UNISTRA, 09/2020) et les idées qu'il développe sont déposés et donc protégés. Toute utilisation devra donc préciser son origine: SADION, Martine, Les images populaires et Gustave Courbet, 13/15, mis en ligne sur uneimagenemeurtjamais.com, juin 2021.

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